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Véronique Baleste, originaire du Bassin d’Arcachon, est une artiste dont le parcours est marqué par une profonde quête de sens et d’expression. Après des études en sociologie et une carrière dans l’enseignement, elle a laissé émerger une passion longtemps enfouie : la peinture. Depuis seize ans, cette pratique est devenue pour elle une nécessité vitale, un langage intime, une manière de ressentir et de célébrer la vie dans toute sa richesse.
À propos de son art
Peindre pour exister
Peindre est pour elle un acte vital. C’est sa manière de respirer, de ressentir, de dire l’indicible. Chaque toile est une exploration de son être, une tentative de capter l’intensité d’un instant, d’une émotion, d’un fragment de vérité.
L’humain au cœur
Elle peint des portraits parce qu'elle peint l’humain. Chaque visage est une histoire, une vibration unique. À travers ses œuvres, elle cherche à révéler l’âme derrière les traits, à célébrer la beauté brute et authentique de notre humanité.
Une technique libre et vivante
L’acrylique est son alliée. Sa rapidité de séchage lui permet de travailler par couches successives, de superposer les matières, de laisser place à l’instinct. Elle y mêle pochoirs, collages, textures, pour enrichir ses tableaux d’une dimension tactile et vibrante.
L’inspiration du Street art
Le Street art transforme la ville en galerie ouverte. Il l’inspire par sa spontanéité, sa force expressive et son accessibilité. Cette énergie brute, elle la transpose dans son travail, en quête d’un art qui dialogue avec le monde.
L’écriture comme voix intérieure
Le texte s’est imposé dans ses toiles comme une voix parallèle. D’abord par des citations, puis par ses propres mots, il devient souffle, murmure, cri. Il ajoute une strate de sens, une voix intérieure qui prolonge le geste pictural.
Peindre et transmettre
Enseignante de cœur, artiste par nécessité, elle tisse des ponts entre ces deux vocations. Comme en classe, elle cherche à éveiller, à faire vibrer. Chaque œuvre est une leçon de vie, un partage d’émotions, une invitation à la réflexion.
« Je peins notre humanité avec l’émotion des mots et la vitalité d’une renaissance à soi. »
— Véronique Baleste
Gustav Klimt pour la richesse, l'humanité de son univers et Ernest Pignon Ernest, pionnier du street art, pour son travail monochrome et son engagement.
Gustav Klimt pour la richesse, l'humanité de son univers et Ernest Pignon Ernest, pionnier du Street art, pour son travail monochrome et son engagement.
Vos artistes de Références ?
Un espace de créativité, tel un cocon, modulable où je suis pleinement moi.
Votre vision de l'atelier ?
Un fond abstrait avec un mix de techniques comme du collage, du pochoir, des effets de matière, de l'écrit dans un réel lâcher prise et un portrait plus académique.
Votre association préférée ?
Une émotion porteuse de sens ainsi que du temps, du calme et de la musique.
Votre indispensable pour créer ?
Le gris de Paynes, le bleu de Prusse et l''Indigo
Vos couleurs favorites ?
Eveiller une émotion, un sentiment d'humanité et de partage
Que recherchez-vous à faire ressentir ?
Je suis en quête perpétuelle de nouvelles techniques. Je me documente, je cherche, je lis, je me mets des images, des mots en tête. J'étudie mon sujet pour pouvoir composer mentalement mon projet.
Votre démarche artistique ?
Un sentiment à la fois de plénitude et de complétude
Que vous apporte la création ?
L'art est comme la maïeutique (art de l'accouchement), il permet d'accoucher les esprits, il conduit à découvrir la connaissance vraie que l'on porte en soi.
Qu'est-ce que l'art ?
M'exprimer pleinement tout en espérant susciter des émotions
Qu'est-ce qui vous motive ?